Cela va devenir une réalité à BEYNOST et nous en sommes sincèrement reconnaissants aux praticiens de « Cabinet médical de la Demi-Lune » de faire autant d’efforts, tous seuls pour leurs patients.
Un peu d’histoire locale récente :
En échos aux propos tenus :
Notre article sur la fracture médicale :
Nous référant aux données du magazine « QUE CHOISIR » ne pouvait hélas que confirmer ce triste bilan pour la seconde commune en population de la CCMP, située à 18 kilomètres seulement de la Place Bellecour. Donc bien éloignée de la « France profonde » avec tout le mépris que ce vilain terme prend dans la bouche de certains hommes politiques qui limiteraient facilement notre beau pays à PARIS et avec un peu de condescendance à trois ou quatre grandes métropoles.
Peut-on se satisfaire de ce bilan ? ….. NON !
Surtout lorsque l’on constate que les praticiens du « Cabinet médical de la Demi-Lune » ont dû, pour essayer de pallier à la fracture médicale, faire installer un algéco leur permettant d’accueillir de nouveaux praticiens.
Algécos à l’École des Sources pour l’accueil des enfants, algéco pour l’accueil des patients, pour qui seront les prochains algécos à BEYNOST ?
Il est plus que temps que la Municipalité s’occupe enfin de la construction ou de l’agrandissement de bâtiments rendus nécessaires pour un accueil optimal des nouveaux et futurs nouveaux arrivants !
Pour la génération qui a dû suivre des cours d’enseignement dans des algécos, solutions acceptables et acceptées à l’époque à la sortie des destructions de la guerre et en plein boum démographique, se voir à nouveau confrontée à ce type de solutions d’urgence est pour le moins paradoxal pour la cinquième puissance économique mondiale.
Nous ne saurions trop engager nos édiles communaux et intercommunaux à se saisir de cet épineux dossier préoccupant pour nombre d’habitants de la Côtière de Dombes.
Il en va de leur bien vivre en Côtière en bonne santé !
Jean-Pierre COTTAZ
Notre maire préfère dilapider l’argent des Beynolans dans le garage Oscar et dans l’entretien de la maison Delorme sous prétexte de patrimoine culturel
Pendant ce temps, certains sont obligés de pratiquer leurs activités dans des Algeco. C’est lamentable . Mais il y a aussi l’état des routes qui ne sont que des damiers de goudron, les fils qui pendent au lieu d’être enterrés , les panneaux publicitaires qui fleurissent le long de certaines rues, les murs qui ne sont pas crépis .Cela montre bien l’état d’esprit d’une municipalité qui se moque éperdument du bien être des beynolans et qui veut seulement se faire plaisir.